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Si le gouvernement français a pris des mesures contre le gaspillage alimentaire dans le pays, au nom de la lutte pour réduire son impact carbone, l’Onu dresse un constat accablant sur la nourriture jetée dans le monde. Un problème qui est loin de concerner uniquement les pays développés.

Le géant du e-commerce Amazon a, depuis 2018, lancé une transformation stratégique de son activité pour passer dans le domaine de la distribution physique. Pour ce faire, le groupe a racheté en 2017 Whole Foods, spécialiste de la grande distribution bio aux Etats-Unis. Mais ce n’est pas tout : il a déployé une technologie de paiement automatique sans caisses qui, pour la première fois, est lancée en dehors du pays de l’Oncle Sam.

Une pandémie mondiale, une crise économique majeure, la volonté des pouvoirs publics de s’en sortir le plus vite possible et des vaccins… il n’en fallait pas plus pour que des escrocs trouvent dans ce scénario digne d’Hollywood une opportunité pour tenter de se faire beaucoup d’argent facilement.

La Moselle, un des 20 départements en vigilance renforcée pour cause de circulation active du virus de la Covid-19, en l’occurrence son variant brésilien, sera-t-elle la prochaine cible de mesures renforcées comme celles mises en place à Nice et Dunkerque ? L’Allemagne n’a en tout cas pas attendu pour serrer la vis à la frontière.

Les géants de la high-tech et les syndicats, ce n’est pas une grande histoire d’amour. Bien au contraire : plusieurs entreprises sont connues pour avoir mis en place des systèmes visant à empêcher les salariés de créer des syndicats, sans réellement de succès. Amazon a donc tenté une nouvelle approche, qui est mal passée.

Pour les citoyens européens, c’est désormais une habitude : lorsqu’ils se trouvent dans un autre pays de l’Union européenne, ils peuvent utiliser leur téléphone mobile quasiment comme chez eux, surtout en termes de données Internet. Pourtant, cette opportunité ne date que de quelques années… et aurait dû disparaître en 2022.

La question de la rémunération des éditeurs de presse par les géants du web s’invite de plus en plus dans les débats parlementaires. En Australie, le gouvernement est en train de faire passer une loi en ce sens, ce qui n’a pas manqué de lui attirer les foudres de Google et Facebook. La situation n’est pas encore résolue, mais Facebook a implémenté un changement radical dans le partage des publications dans le pays.

Réseau social au succès inégalé durant l’année 2020, porté, entre autres, par les confinements et la pandémie de Covid-19, Tiktok, propriété du chinois ByteDance, était accusé de tous les maux par l’administration Trump. Cette dernière l’avait même menacé d’interdiction aux États-Unis s’il ne se vendait pas à une entreprise américaine. Un projet abandonné, selon le Wall Street Journal, mais avec des conditions.

Face à une pandémie de Covid-19 qui a fait plus de 110.000 morts sur le territoire britannique, le Royaume-Uni, aux prises avec le variant du virus Sars-CoV-2 plus contagieux, a décidé de restreindre un peu plus l’accès au pays. De nouvelles mesures enteront en vigueur le 15 février 2021.