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Le Pass vaccinal et le masque ne sont plus obligatoires en France







14 Mars 2022

La baisse du nombre de cas et la situation hospitalière qui s’améliorent en France ont permis au gouvernement de confirmer la nouvelle phase de levée de restrictions sanitaires dans le pays. Dès lundi 14 mars 2022, le Pass vaccinal et le port du masque ne sont plus obligatoires, sauf dans certains cas très précis.


Le masque à l’intérieur n’est plus obligatoire, le Pass vaccinal non plus

Pixabay/Surprising_shots
Pixabay/Surprising_shots
Depuis le 28 février 2022, en France, subsistaient deux situations distinctes : dans les lieux soumis au Pass vaccinal, donc accessible uniquement aux personnes présentant un schéma de vaccination complet, comme les restaurants, le masque n’était plus obligatoire à l’intérieur. Inversement, dans les lieux accessibles sans Pass vaccinal, le masque restait une obligation pour tous les Français.

La nouvelle phase d’allègement des mesures sanitaires vient harmoniser ces deux types de lieux… en ne les distinguant plus. D’un côté, le Pass vaccinal n’est plus obligatoire pour les établissements accueillant du public ; de l’autre côté, le port du masque n’est plus obligatoire dans les lieux qui l’imposaient auparavant. Bien évidemment, les Français restent libre de porter un masque s’ils le désirent.

La menace d’une sixième vague pandémique

Le port du masque et le Pass vaccinal ou sanitaire restent néanmoins en vigueur. Dans les établissements de santé, dont les Ehpad, l’accès reste soumis à la présentation du Pass, et avec le port du masque. Seules les situations d’urgence représentent une exception à cette règle.

Pour ce qui est des transports en commun partout en France, en outre, le port du masque est également toujours une obligation à laquelle doivent se soumettre les voyageurs.

Car si la situation pandémique s’est fortement améliorée en France depuis le début de l’année 2022, le nombre de contaminations reste très élevé : plus de 50.000 par jour. Un nombre en outre qui recommence à augmenter du fait de la propagation rapide du sous-variant BA.2 du variant Omicron qui pourrait, selon certains experts, conduire à une sixième vague pandémique dont les premiers effets commence à se remarquer.