Politique
Un premier reportage de Ouest France avait déjà rendu compte du tournage du premier film de la maison de production liée au parc d’attraction du Puy du Fou. Le Figaro annonce désormais que le tournage du premier film vient de se terminer . Sans surprise, le long métrage traite du thème préféré du parc fondé par Philippe de Villiers : « Après le spectacle vivant, le Puy du Fou se lance à présent dans le cinéma. Le célèbre parc vendéen achève le tournage de sa première production originale, Vaincre ou mourir. Le film, qui se veut «ambitieux et grand public», aura pour toile de fond la guerre de Vendée et sera centré sur l’histoire du général Charette. Tourné quasi exclusivement sur le site du Puy du Fou, le long-métrage de près de deux heures s’est appuyé sur l’expertise d’historiens et sera porté à l’écran par des acteurs tels que Hugo Becker (Baron noir, Je te promets), Jean-Hugues Anglade ou encore Grégory Fitoussi (Engrenages). Il sortira en salle en 2023. »
Le projet est présenté comme une grosse production et s’appuie sur les subventions publiques et des acteurs de référence du septième art français. « Cette première création originale de Puy du Fou Films, la nouvelle entité de production audiovisuelle du groupe, a bénéficié des aides du CNC et est dotée d’un budget de «quelques millions d’euros», indique Nicolas de Villiers, le président du Puy du Fou. Elle sera diffusée sur Canal+ et distribuée par StudioCanal. «Ce film est une première étape. Nous avons d’autres projets de longs-métrages et de séries, actuellement en développement, qui ont vocation à voyager à l’international», poursuit le dirigeant. Une diversification qui ne doit rien au hasard. Avec la multiplication des plateformes de streaming, à l’instar de Netflix, «l’appétit pour la création audiovisuelle s’est considérablement renforcé», constate Nicolas de Villiers », rapporte Le Figaro.
Au-delà de la stratégie commerciale autour du parc à succès, ce premier film sera regardé de près. Plus habitués ces dernières années aux films de genres, comédies ou thriller policiers, les épopées historiques se font rare dans le cinéma français. Et lorsque, par exception, des grosses productions se penchent sur des pans de l’histoire française elles sont souvent produites outre atlantique.
Le projet est présenté comme une grosse production et s’appuie sur les subventions publiques et des acteurs de référence du septième art français. « Cette première création originale de Puy du Fou Films, la nouvelle entité de production audiovisuelle du groupe, a bénéficié des aides du CNC et est dotée d’un budget de «quelques millions d’euros», indique Nicolas de Villiers, le président du Puy du Fou. Elle sera diffusée sur Canal+ et distribuée par StudioCanal. «Ce film est une première étape. Nous avons d’autres projets de longs-métrages et de séries, actuellement en développement, qui ont vocation à voyager à l’international», poursuit le dirigeant. Une diversification qui ne doit rien au hasard. Avec la multiplication des plateformes de streaming, à l’instar de Netflix, «l’appétit pour la création audiovisuelle s’est considérablement renforcé», constate Nicolas de Villiers », rapporte Le Figaro.
Au-delà de la stratégie commerciale autour du parc à succès, ce premier film sera regardé de près. Plus habitués ces dernières années aux films de genres, comédies ou thriller policiers, les épopées historiques se font rare dans le cinéma français. Et lorsque, par exception, des grosses productions se penchent sur des pans de l’histoire française elles sont souvent produites outre atlantique.