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Paris : un pic de pollution qui va en s'amplifiant



Journaliste pour VA Press. En savoir plus sur cet auteur




6 Décembre 2016

Depuis lundi à Paris et plus largement en Île-de-France, la pollution aux particules fines est repartie à la hausse. La circulation alternée est donc en vigueur ce mardi : seules les voitures avec des plaques paires peuvent circuler.


Source : Pixabay, image libre de droits.
Source : Pixabay, image libre de droits.
« Seuls les véhicules dont le numéro sur la plaque d'immatriculation est pair peuvent circuler ce mardi dans la capitale, après la décision de la préfecture de police de mettre en place de la circulation alternée à Paris et dans 22 communes de la petite couronne en raison d'un pic de pollution aux particules et au dioxyde d'azote » explique un article en ligne du journal Le Figaro, qui ajoute : « Ce dernier touche en effet la capitale depuis une semaine et est reparti à la hausse lundi après un week-end d'accalmie. Alors que l'indice de pollution estimé pour mercredi est de 94 selon Airparif, la préfecture de police pourrait décider de reconduire la circulation alternée pour 24 heures supplémentaires. »

Les régions Rhône-Alpes et Haute Savoie

Sur son site internet, Airparif l'association de surveillance de la qualité de l'air annonce « un indice de 90 pour la journée de mardi. »

L’article du Figaro souligne que « ce matin, plusieurs automobilistes constataient qu'un grand nombre de voitures aux plaques impaires circulaient malgré l'interdiction », précisant qu’aucun « contrôle n'était effectué Porte d'Orléans à Paris et un seul policier effectuait des contrôles aléatoires à Denfert-Rochereau. »

Il ajoute : « En contre-partie de la circulation alternée, la ville de Paris a reconduit les mesures de gratuité du stationnement résidentiel, du Vélib et d'Autolib'. »

Comme à Paris, « un pic de pollution sévit dans les grandes agglomérations de Rhône-Alpes et la vallée de l'Arve en Haute-Savoie depuis vendredi, en raison notamment de l'usage important de chauffages polluants face aux faibles températures. »

Ainsi, « l'alerte de niveau 1 (sur une échelle de 3) a été déclenchée lundi après trois jours d'un niveau élevé de particules fines dans l'air (supérieur à 50 g/m3), dont le taux a atteint 76 g/m3 lundi, selon la préfecture du Rhône. »

Lire l’intégralité de l’article du Figaro ici.