Les besoins électriques à bord seront couverts par le photovoltaïque déployé sur 340m2 de la coque. Le carburant sera du biodiesel d’algues et des turbines récupéreront l’énergie de la houle.
« Cet engin est une somme de prototypes » affirme Jacques Rougerie cité par le quotidien
Les Echos. Un comité scientifique international est chargé de l’organisation des missions. Les chercheurs ont déjà fixé un certain nombre d’objectifs prioritaires dont : l’étude des plastiques à la dérive et leur impact sur l’environnement, des planctons et le maillage dynamique des courants océaniques.
En plus des océanographes, de nombreux scientifiques bénéficieront du projet. D’abord l’aspect novateur des technologies utilisées permettra d’en savoir plus sur les différents prototypes utilisés. Les ingénieurs espèrent en savoir plus sur la résistance des matériaux et des technologies.
Parmi les utilisations,
Les Echos relève un programme de la Nasa et de l’Agence spatiale européenne «
pour préparer les futurs équipages de vols spatiaux habités au stress de longs voyages dans des conditions de confinement extrêmes. » La partie immergée du bâtiment «
servira également d’« appartement témoin » pour tester des solutions de design innovantes intégrant les principes de recyclage « cradle to cradle » (du berceau au berceau), indispensables au futur de l’exploration spatiale. » souligne le quotidien économique.