Politique
Creative Commons - Pixabay
Le comité exécutif de la Fédération française de football (FFF) n’a pas surpris dans sa décision. Se réunissant mercredi 24 mars les instances du foot français ont décrété l’arrêt des compétitions amateurs. « Le Comité Exécutif de la Fédération Française de Football a pris la décision de mettre un terme à l’ensemble des compétitions amateurs départementales et régionales métropolitaines pour la saison 2020-2021 en raison de l’épidémie de la Covid-19 et des mesures sanitaires renforcées. A date, le calendrier, déjà contraint, ne permet plus d’envisager une reprise des compétitions amateurs » explique le communiqué de la fédération.
Comme tous les pratiquants de sport, depuis mars 2020, les conditions ne sont jamais optimales et toutes les rencontres, même en plein air sont contrariées. Loin d’être anecdotique, ces conséquences de la pandémie ont un impact économique et social important. Pour les petites structures sportives, pour les petites économies qui les accompagnent, les coups durs se succèdent les uns après les autres dans un long tunnel qui ne termine pas. « Après la décision d'Emmanuel Macron en mars 2020 de confiner la France en raison de la pandémie de Covid-19, la Fédération française de football avait annoncé l'arrêt des compétitions de football amateur. Après une reprise timide en août, les championnats avaient de nouveau étaient suspendus en octobre dernier. Seuls les clubs qui participaient à la Coupe de France avaient pu reprendre les entraînements grâce à un protocole sanitaire établi » rapporte France Info .
Outre les effets sur la santé des pratiquants de foot qui sont privés d’exercice, c’est tout une partie du tissu social qui est concerné par l’arrêt des compétitions amateurs. Avec plus de deux millions de licenciés, la FFF est un levier de rapports humain central. Un aspect évidemment pris en compte par les autorités lorsqu’elles décident de suspendre les championnats et non de les annuler comme cela a été envisagé.
Comme tous les pratiquants de sport, depuis mars 2020, les conditions ne sont jamais optimales et toutes les rencontres, même en plein air sont contrariées. Loin d’être anecdotique, ces conséquences de la pandémie ont un impact économique et social important. Pour les petites structures sportives, pour les petites économies qui les accompagnent, les coups durs se succèdent les uns après les autres dans un long tunnel qui ne termine pas. « Après la décision d'Emmanuel Macron en mars 2020 de confiner la France en raison de la pandémie de Covid-19, la Fédération française de football avait annoncé l'arrêt des compétitions de football amateur. Après une reprise timide en août, les championnats avaient de nouveau étaient suspendus en octobre dernier. Seuls les clubs qui participaient à la Coupe de France avaient pu reprendre les entraînements grâce à un protocole sanitaire établi » rapporte France Info .
Outre les effets sur la santé des pratiquants de foot qui sont privés d’exercice, c’est tout une partie du tissu social qui est concerné par l’arrêt des compétitions amateurs. Avec plus de deux millions de licenciés, la FFF est un levier de rapports humain central. Un aspect évidemment pris en compte par les autorités lorsqu’elles décident de suspendre les championnats et non de les annuler comme cela a été envisagé.