Au-delà de ce programme, « la qualité des emplois et la grande liberté de recherche au CNRS attirent aussi les talents étrangers, nombreux à passer les concours de recrutement », explique le CNRS dans un communiqué. Il ajoute que depuis plusieurs années, « près d’un lauréat sur trois aux concours de chercheurs est de nationalité étrangère. »
Au 31 décembre 2018, le CNRS déclare compter « dans ses effectifs 5 065 personnels de nationalité étrangère, dont 2 513 parmi ses effectifs permanents, soit 10,2 % (ils étaient 9,2 % en 2014, 5,3 % en 1999). Parmi les permanents, ils et elles représentent 17,8 % des chercheurs et 3,9 % des ingénieurs et techniciens. »
Plus de 90 nationalités différentes sont recensées parmi les personnels permanents : « celles de l’Union européenne sont les plus représentées (67,1 % des personnels permanents étrangers), avec au premier rang l’Italie », peut-on également lire dans le communiqué du CNRS.