L’épisode de la finale de la Ligue des champions est encore dans toutes les têtes. L’an dernier, les images d’agression et d’interventions des forces de l’ordre avaient envoyé une image terrible au monde entier. Alors que la Coupe du Monde de rugby va débuter, les autorités assurent être prêtes cette fois. « Plusieurs mesures ont été prises pour éviter qu’un tel désastre ne se reproduise. Le nombre de caméras de vidéoprotection autour du Stade de France, par exemple, a été augmenté. Et, devant les députés, le 5 avril, Michel Cadot, délégué interministériel aux Jeux olympiques et paralympiques 2024 et aux grands événements sportifs, s’est voulu rassurant. Il y a maintenant une « gestion des flux beaucoup plus suivie » des arrivées de spectateurs vers le site, a-t-il expliqué. Finalement, le loupé du printemps 2022 aura peut-être servi les intérêts des organisateurs du Mondial de rugby », relève Le Monde.
« Conformément aux nouvelles directives en vigueur, les 2,2 millions de billets vendus pour la compétition sont nominatifs, dématérialisés et infalsifiables. En complément, une plate-forme de revente officielle de tickets a été lancée au mois de janvier, dans le but d’éviter la fraude, un marché noir aux prix prohibitifs et les arnaques. Le Stade de France joue un rôle central dans ce Mondial, accueillant le match d’ouverture du tournoi, entre la France et la Nouvelle-Zélande, mais aussi deux quarts de finale, les deux demi-finales, la finale et la rencontre de classement pour la troisième place. Reste qu’il faut également sécuriser huit autres enceintes, à Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Nice, Saint-Etienne et Toulouse », résume le quotidien.
Le ministère de l’Intérieur et les préfectures ont prévu et mis en place un dispositif de sécurité différent pour chaque événement avec des effectifs prévus entre 300 et 1 000 en fonction des tensions qu’impliquent la zone. « La tentation est grande d’essayer de comparer le dispositif de sécurité du Mondial avec celui des Jeux, mais la nature des deux événements est différente. Environ 10 millions de visiteurs étrangers sont attendus pour les JO, contre « seulement » six cent mille pour la Coupe du monde. Alors que le rendez-vous olympique sera condensé sur deux semaines (du 26 juillet au 11 août 2024), le tournoi de rugby, lui, durera presque deux mois, avec des jours de relâche. D’un côté, il faudra sécuriser quarante sites en simultané, de l’autre, neuf stades en alternance », poursuit Le Monde. Ce qui est certain c’est que durant ces deux événements les yeux du monde seront sur la France, l’occasion de montrer une image un peu plus favorable que lors de la finale de la Ligue des champions.
« Conformément aux nouvelles directives en vigueur, les 2,2 millions de billets vendus pour la compétition sont nominatifs, dématérialisés et infalsifiables. En complément, une plate-forme de revente officielle de tickets a été lancée au mois de janvier, dans le but d’éviter la fraude, un marché noir aux prix prohibitifs et les arnaques. Le Stade de France joue un rôle central dans ce Mondial, accueillant le match d’ouverture du tournoi, entre la France et la Nouvelle-Zélande, mais aussi deux quarts de finale, les deux demi-finales, la finale et la rencontre de classement pour la troisième place. Reste qu’il faut également sécuriser huit autres enceintes, à Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Nice, Saint-Etienne et Toulouse », résume le quotidien.
Le ministère de l’Intérieur et les préfectures ont prévu et mis en place un dispositif de sécurité différent pour chaque événement avec des effectifs prévus entre 300 et 1 000 en fonction des tensions qu’impliquent la zone. « La tentation est grande d’essayer de comparer le dispositif de sécurité du Mondial avec celui des Jeux, mais la nature des deux événements est différente. Environ 10 millions de visiteurs étrangers sont attendus pour les JO, contre « seulement » six cent mille pour la Coupe du monde. Alors que le rendez-vous olympique sera condensé sur deux semaines (du 26 juillet au 11 août 2024), le tournoi de rugby, lui, durera presque deux mois, avec des jours de relâche. D’un côté, il faudra sécuriser quarante sites en simultané, de l’autre, neuf stades en alternance », poursuit Le Monde. Ce qui est certain c’est que durant ces deux événements les yeux du monde seront sur la France, l’occasion de montrer une image un peu plus favorable que lors de la finale de la Ligue des champions.