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Covid-19 : le confinement 4 n’est pas impossible selon Gabriel Attal







15 Novembre 2021

La pandémie de Covid-19 inquiète toujours, notamment en « zone Europe » selon la définition de l’OMS (zone arbitraire bien supérieure à l’Europe géographique) où la cinquième vague fait des ravages. Certaines pays de la zone euro ont même commencé à réinstaurer des restrictions sanitaires face à la hausse des cas et du taux d’incidence.


La cinquième vague frappe l’Allemagne, l’Autriche reconfine

Covid-19 : le confinement 4 n’est pas impossible selon Gabriel Attal
Le pays européen le plus touché par la cinquième vague de Covid-19 est l’Allemagne : avec plus de 50.000 nouveaux cas par jour et un taux d’incidence qui bat record sur record et a dépassé, le 14 novembre 2021, les 300 cas pour 100.000 habitants, le gouvernement a de nouveau restreint l’accès à certains lieux. L’Allemagne enchaîne des taux d’incidence record, largement supérieurs aux taux maximum enregistrés lors des vagues précédentes.

Les Pays-Bas, de leur côté, ont réinstauré un couvre-feu… mais c’est l’Autriche qui a opté pour la mesure la plus radicale. Désormais, un confinement généralisé de toute la population non-vaccinée est en vigueur dans le petit pays alpin. Un coup dur pour la population qui est regardée partout ailleurs en Europe : la crainte d’un quatrième confinement se fait de plus en plus pesante.

Gabriel Attal ne nie pas la possibilité d’un reconfinement

En France, malgré une forte hausse du nombre de nouveaux cas sur le territoire (plus de 10.000 toutes les 24 heures), la situation semble sous contrôle. Mais le gouvernement a déjà opté pour quelques mesures symboliques, notamment le retour du masque dans toutes les écoles primaires.

Interrogé sur la situation par France 2, dans l’émission « On est en direct » le 14 novembre 2021, Gabriel Attal n’a pas exclu la possibilité d’un confinement 4. « L’un des enseignements que je tire en tant que porte-parole du gouvernement après 18 mois de crise, c’est qu’il ne faut jamais rien exclure par principe », a déclaré le porte-parole du gouvernement tout en précisant que pour l’instant aucune décision en ce sens n’est envisagée.