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Alors que les premiers examens excluent la piste de l’empoisonnement, l’hospitalisation de l’opposant politique russe Alexeï Navalny a de nouveau fait parler de la situation politique du pays. La France a saisi l’opportunité pour proposer d’accueillir l’opposant, même si l’équipe médicale est opposée à tout transfert.

Après des jours de flottement et de critiques, l’Union européenne a pris une position forte vis-à-vis des contestations populaires de la réélection en Biélorussie du président Loukachenko. L’UE déclare ne pas reconnaitre les résultats et dénonce « violences », « répressions » et « fraudes électorales ».

Tandis qu’en France, et un peu partout ailleurs dans le monde, la crainte d’une deuxième vague de contaminations se fait de plus en plus forte, les données collectées par l’université John Hopkins dévoilent que la pandémie a franchi un nouveau cap.

La Suède est devenue le symbole des anti-confinement qui jugent que cette décision inédite a tué l’économie. Mais malgré l’absence de confinement, le pays nordique a connu une chute historique de son PIB… tout en payant un prix élevé en termes de contaminations et de décès.

La Caroline du Nord a été le premier territoire états-unien à être touché par l’ouragan Isaias. De fortes pluies meurtrières sont annoncées dans cette zone où l’état d’urgence a été décrété.

Les tensions entre les États-Unis et la Chine semblent s’accentuer fin juillet 2020 : les deux pays ont pris, l’un envers l’autre, des mesures fortes en fermant et saisissant des consulats. Le dernier épisode d’une guerre politique que Chine et États-Unis se mènent depuis plusieurs mois désormais et qui a été exacerbée par la crise du coronavirus Covid-19.

L’accord trouvé mardi 21 juillet 2020 entre les 27 pays de l’Union européenne instaure, pour la première fois de l’histoire de l’UE, une dette partagée, appelée en l’occurrence les « corona bonds ». La somme concernée, 390 milliards d’euros, représente plus de la moitié du plan de la BCE pour relancer l’UE. Mais pour la Bundesbank, ça ne doit pas devenir une habitude.

Les discussions ont été compliquées et à plusieurs reprises le risque qu’un accord ne soit pas trouvé a été réel ; mais, finalement, l’Union européenne a joué son rôle. Mardi 21 juillet 2020 très tôt, un accord a été signé pour le plan de soutien européen face à la crise économique liée à la Covid-19.

Alors que la pandémie de coronavirus Covid-19 continue sa progression dans le monde, le cabinet Verisk Maplecroft a analysé le risque de « soulèvements de populations » lié à la crise sanitaire et à la crise économique qui en découle. De nombreux pays pourraient voir des troubles émerger dès 2020.