Les radars urbains pour sanctionner quelles infractions ?
Ces radars sanctionnent deux infractions majeures : les excès de vitesse et le franchissement des feux rouges. À Marseille, ville qui les a testés, l'accent est mis sur la surveillance des feux rouges. Mais à l’avenir d’autres infractions pourraient être constatées par ces radars urbains comme l’usage du téléphone au volant ou encore l’absence de ceinture de sécurité.
Lancés en 2021 en phase de test, ces radars ont été essayés dans de nombreuses villes comme Toulouse, Marseille, Montbéliard et Montpellier. Leur déploiement effectif a débuté en janvier 2024 : depuis mardi 16 janvier 2024, ils distribuent en effet des amendes. Le Territoire de Belfort et Marseille figurent parmi les premiers à les activer.
Lancés en 2021 en phase de test, ces radars ont été essayés dans de nombreuses villes comme Toulouse, Marseille, Montbéliard et Montpellier. Leur déploiement effectif a débuté en janvier 2024 : depuis mardi 16 janvier 2024, ils distribuent en effet des amendes. Le Territoire de Belfort et Marseille figurent parmi les premiers à les activer.
Des radars très difficiles à repérer pour les automobilistes
Ces radars se distinguent par leur capacité à se camoufler dans l'environnement urbain, placés facilement sur le mobilier existant. Ils peuvent en outre sanctionner dans les deux sens de circulation.
Outre leur petite taille et leur capacité à se fondre dans le mobilier urbain, ces nouveaux radars sont accompagnés de centaines de leurres. Selon les plans du gouvernement, qui ont été retardés, fin 2023 il y aurait dû y avoir pas moins de 200 radars urbains et 500 leurres. Leur déploiement se poursuivra en 2024.
Autre particularité : les radars urbains, contrairement aux radars de vitesse, ne disposent pas de flash visible. Les automobilistes en infraction ne sauront donc pas d’avoir été flashés et recevront tout simplement l’amende dans leur boîte au lettres quelques jours plus tard.
Outre leur petite taille et leur capacité à se fondre dans le mobilier urbain, ces nouveaux radars sont accompagnés de centaines de leurres. Selon les plans du gouvernement, qui ont été retardés, fin 2023 il y aurait dû y avoir pas moins de 200 radars urbains et 500 leurres. Leur déploiement se poursuivra en 2024.
Autre particularité : les radars urbains, contrairement aux radars de vitesse, ne disposent pas de flash visible. Les automobilistes en infraction ne sauront donc pas d’avoir été flashés et recevront tout simplement l’amende dans leur boîte au lettres quelques jours plus tard.