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Vienne sacrée ville la plus agréable au monde en 2022







23 Juin 2022

Détrônant la capitale de la Nouvelle-Zélande, Auckland, la capitale autrichienne, Vienne, est sacrée par le classement de The Economist comme la ville où l’on vit le mieux sur la planète.


Des facteurs culturels et environnementaux quasi idéaux

Jeudi 23 juin 2022, la cellule de recherche et d’analyse de l’hebdomadaire The Economist a publié son classement des villes les plus agréables de la planète. Pour la troisième fois depuis la création de ce classement, la capitale autrichienne se hisse à la première place. Vienne avait été classée première du classement en 2018 et 2019. Auckland, première du classement en 2021, perd 33 places à cause des mesures instaurées contre le covid.

Ce classement prend en compte plusieurs aspects de la vie locale. Pour être classée, la ville doit être un centre économique et financier. Vienne a obtenu une note de 100 sur 100 pour la stabilité de la ville, son infrastructure, son offre éducative et médicale. Selon les responsables du classement, la ville de Vienne présente des facteurs culturels et environnementaux quasi idéaux.

Paris dans le top 20

Parmi toutes les villes classées, ce sont des villes d’Europe qui se trouvent en tête de classement. Copenhague et Zurich sont respectivement à la deuxième et troisième place du classement de The Economist. Dans le top 10 du classement, se trouvent six villes européennes, avec notamment Genève (6e place), Francfort-sur-le-Main (7e place) et Amsterdam (9e place). Dans le top 10, se trouvent également trois villes du Canada, Calgary à la quatrième place, Vancouver à la cinquième et Toronto à la huitième.

Ensuite, Paris se trouve à la 19e place, soit 23 places de plus que l’année précédente. Damas, quant à elle, se trouve à la dernière place du classement. Avec la guerre en Ukraine et ses suites, Moscou se trouve à la 80e place et Kiev a dû en être exclue. « Les villes d'Europe de l'Est ont reculé dans le classement en raison de l'augmentation des risques géopolitiques » et « de la crise du coût de la vie, incluant la flambée des prix de l'énergie et des denrées alimentaires », a expliqué Upasana Dutt, la responsable du rapport, à l’EIU.