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Il y a comme un air de déjà vu, alors que la pandémie de Covid-19 ne semble pas faiblir, au contraire. Les annonces des annulations d’événements se multiplient, comme ce fut le cas début 2020. Le premier événement majeur de 2021 a avoir été annulé est désormais connu : le carnaval de Rio.

Une étude menée par un institut de recherches australien dénombre 380 centres de détention présumés de Ouïghours au Xinjiang, région autonome, située au nord-ouest de la Chine.

La pandémie de Covid-19 recommence à mettre les bâtons dans les roues de voyages à l’intérieur de l’espace Schengen, en plus des restrictions de voyages dans certains pays en dehors de cette zone. L’Italie a annoncé à son tour limiter l’accès aux ressortissants en provenance des « zones rouges » françaises.

La pandémie de coronavirus Sars-CoV-2 semble définitivement être entrée dans la très crainte « deuxième vague » alors que les contaminations ne cessent d’augmenter dans le monde. L’Organisation Mondiale de la Santé s’inquiète, en particulier pour la circulation du virus en Europe.

La Covid-19 aura certes empêché la tenue en présentiel de l’annuelle remise des prix IgNobel, les prix qui « d’abord vous font sourire, puis réfléchir », elle aura eu lieu en direct sur Youtube. Et cette année, elle consacre, entre autres, le président des États-Unis Donald Trump pour sa contribution en éducation médicale durant la crise de la Covid-19.

Par communiqué, la Commission européenne a assuré par l’intermédiaire de Michel Barnier que les termes de l’accord de séparation avec le Royaume-Uni seront respectés. Une réponse à l’exécutif britannique qui a laissé entendre que des aspects seraient renégociés.

Les États-Unis sont le pays le plus touché par la Covid-19 dans le monde, avec 6,3 millions de cas sur leur territoire et plus de 180.000 décès selon l’université Johns Hopkins. Et un rassemblement de motards pourrait avoir été un des clusters de contamination les plus importants.

Le thriller international ayant pour personnage central Alexeï Navalny, opposant politique russe, a pris une nouvelle tournure le 2 septembre 2020. L’Allemagne, où il est hospitalisé, estime avoir des preuves qu’il a effectivement été empoisonné, thèse toujours démentie par Moscou.

Alors que la France est désormais le deuxième pays de l’Union européenne le plus touché par la pandémie de Covid-19, les pays frontaliers resserre la vis pour éviter que des personnes en provenance de France ne créent des clusters chez eux. Après le Royaume-Uni, la Belgique et l’Allemagne ont pris des mesures.